VICH
Le morceau est divisé en trois parties. Il commence par une représentation musicale de l’aube dans la vallée de San Valentino, une vallée latérale de la Val Rendena, évoquant l’harmonie et les contrastes de la nature. La deuxième partie rappelle l’incendie dévastateur de 1929, qui, à partir d’une petite étincelle, détruisit une grande partie du village de Vigo Rendena. Le morceau se termine par « Une chanson pour Vigo Daré », une mélodie sans paroles dédiée aux musiciens de la Fanfare de Vigo-Daré à l’occasion du centenaire de sa fondation.
Compositeur
Giovanni Bruni
Arrangeur
-
niveau
3
durée
7'10
formation
Harmonie
Éditeur
Scomegna Edizioni Musicali
format
Partition et parties A4+ (24 x 32 cm)
Product Code
ES B1759.20
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Description
Le morceau est divisé en trois parties jouées sans interruption.
Il commence par une description musicale de l’aube dans la vallée de San Valentino, une vallée latérale de la Val Rendena, dans le Trentin-Haut-Adige. Les différentes sections de l’orchestre d'harmonie nous transportent dans l’harmonie de la nature, où les divers éléments naturels coexistent, même s’ils sont parfois en opposition les uns avec les autres.
Le morceau se poursuit avec la deuxième partie : un souvenir de l’incendie furieux survenu le 20 juillet 1929. D’une petite étincelle, un incendie dévastateur s’est déclenché, détruisant une grande partie du village de Vigo Rendena.
« Une chanson pour Vigo Daré », une chanson sans paroles, conclut le morceau. Une mélodie délicate que le compositeur a voulu dédier aux musiciens de la Fanfare de Vigo-Daré à l’occasion du centenaire de sa fondation.
Il commence par une description musicale de l’aube dans la vallée de San Valentino, une vallée latérale de la Val Rendena, dans le Trentin-Haut-Adige. Les différentes sections de l’orchestre d'harmonie nous transportent dans l’harmonie de la nature, où les divers éléments naturels coexistent, même s’ils sont parfois en opposition les uns avec les autres.
Le morceau se poursuit avec la deuxième partie : un souvenir de l’incendie furieux survenu le 20 juillet 1929. D’une petite étincelle, un incendie dévastateur s’est déclenché, détruisant une grande partie du village de Vigo Rendena.
« Une chanson pour Vigo Daré », une chanson sans paroles, conclut le morceau. Une mélodie délicate que le compositeur a voulu dédier aux musiciens de la Fanfare de Vigo-Daré à l’occasion du centenaire de sa fondation.
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